Qu’il s’agisse de la polyarthrite rhumatoïde ou de la spondylarthrite ankylosante, l’activité physique est très importante une fois que l’inflammation est contrôlée.
Polyarthrite rhumatoïde ou spondylarthrite ankylosante : ces maladies invisibles ternissent le quotidien des patients, les empêchant parfois de pratiquer leurs activités préférées. Mais bouger reste essentiel. L’exercice physique renforce les articulations et leur mobilité.1 Il faut toutefois prendre en compte le stade de la maladie : « Bouger quand on a des articulations enflammées, ça n’est pas bon. Il faut d’abord un contrôle de la maladie. Maintenant, on a des approches pluridisciplinaires. Une équipe s’occupe du malade et lui recommande d’avoir une prise en charge qui associe médicament et approches non pharmacologiques », explique le Professeur Patrick Durez.