Une personne qui vit avec une maladie chronique ou potentiellement mortelle a déjà suffisamment de sujets d’inquiétude. Elle ne devrait pas avoir à se battre pour ouvrir une boîte ou un flacon de médicament, à se demander si elle prend le bon médicament au bon moment et dans la quantité correcte, ni attirer les regards sur elle en raison d’un contenant imposant.
Il est essentiel d’être à l’écoute des problèmes du patient, de recueillir ses commentaires et de modifier la présentation des emballages afin de répondre à ses besoins et de l’aider, lui et, dans bien des cas, les soignants, à vivre avec la maladie. Ces dix dernières années, AbbVie et d’autres acteurs du secteur pharmaceutique ont développé leurs pratiques en matière d’emballage, afin de transformer ce qui était auparavant un simple conteneur de médicaments en un élément essentiel des traitements. Le temps où tous les flacons de médicaments étaient identiques est révolu.
Selon James Hughes, directeur du centre d’excellence des dispositifs et emballages d’AbbVie, « L’emballage a évolué, passant d’un simple mode de distribution des médicaments à une solution optimale pour le patient. Nous entendons donner la priorité au patient lorsque nous concevons nos emballages. »
« Il s’agit vraiment d’être à l’écoute des souhaits des patients exprimés dans les études de marché réalisées par des groupes de défense des patients, dans les retours concernant les essais cliniques et dans les commentaires formulés directement par les patients, de même que de tirer des enseignements des essais axés sur les personnes âgées et sur la résistance des enfants », explique James Hughes.